Les mythes ne meurent jamais

Mardi 15 Décembre 2020-00:00:00
'  Rami Abdel-Baki

Et toi, mon professeur, Dr. Nabil Farouk, tu es une légende. Un nom qu’on a très bien connu pendant notre enfance, jeunesse et en tant qu’adultes. Vous avez assumé la charge de former l’identité culturelle de toute une génération de jeunes. Et vous vous êtes engagé à implanter l’esprit de dévouement à notre patrie à chaque expression que votre plume a écrit, tout en la défendant contre tous les ennemis. Vous avez supporté l’attaque féroce qui a atteint l’offense et la dénonciation publique contre vos situations stables et invariables. On a navigué avec vos idées dans le monde très amusant des renseignements avec leurs organes suprêmes, tout en se battant avec notre esprit avec Adham Sabry dans la série «The Impossible Man», ou «L’homme de l’Impossible». On a continué le voyage dans le monde passionnant de la science-fiction, un domaine dont vous étiez pionnier, et nous nous battons avec Noor S18- dans la série « document de l’avenir ». On a repris de nouveau les souvenirs de l’Andalousie et de l’ancienne gloire arabe avec Faris et Fahd. On a vécu les événements sociaux importants de l’histoire de l’Égypte avant la Révolution de juillet jusqu’à l’ère moderne ainsi que les étapes et l’ascension de Hussein al-Banhawi dans le roman Arzaq. On a été très passionnés en essayant de parvenir a des solutions pour les affaires policières intéressantes avec Imad et Ola dans la série PX. On a navigué dans le monde intéressant et détaillé de l’espionnage dans la série de la «Guerre des espions». A ce sujet je réfère à votre expression éternelle : «Dans la guerre d’intelligence, les Égyptiens excellent toujours». Et d’autres, parmi vos œuvres créatives, qui étaient l’exemplaire pour tout lecteur passionné de lecture intéressante. On n’a jamais oublié votre encouragement pour les jeunes écrivains, dont je suis toujours fier d’être l’un d’eux. Je n’arrive pas à écrire d’avantage pour exprimer la douleur ressentie pour votre mort, alors que ma plume l’écrit avec un cœur ensanglanté.